Intervention du Président de la BIDC à la 7e édition du Forum “Rebranding Africa” 2021 à Bruxelles, Belgique

  04/11/2021  
Intervention du Président de la BIDC à la 7e édition du Forum “Rebranding Africa” 2021 à Bruxelles, Belgique
7e édition du Forum “Rebranding Africa” 2021, Bruxelles

Le Président de la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC), Dr. George Agyekum Donkor, a exhorté les gouvernements africains à explorer les divers voies et moyens par lesquels ils peuvent faire pleinement bénéficier leurs citoyens des avantages de la révolution numérique, afin que l’Afrique ne soit pas à la traîne.

Dr. Donkor s’est exprimé ainsi lors de son intervention à la 7e édition du Forum Rebranding Africa qui s’est tenue à Bruxelles, en Belgique, sur le thème « Comment la révolution numérique peut contribuer à forger l’avenir de l’Afrique ».

Ce forum annuel, qui a réuni des participants de haut niveau, notamment des représentants de divers gouvernements et institutions, a été animé par des personnalités de premier plan telles que M. Tony Blair, ancien premier ministre britannique, Son Excellence Mamadou Issoufou, ancien président de la République du Niger, Son Excellence Pierre-Yves Dermangne, vice-premier ministre et ministre de l’économie et du travail du Royaume de Belgique, entre autres.

Il a ajouté que l’environnement numérique a facilité la création d’un marché numérique unique, stimulé des synergies et permis des partenariats à tous les niveaux possibles pour une meilleure efficacité, d’où d’énormes possibilités de développer le commerce et d’accroître les investissements sur le continent. D’après lui, une telle opportunité pourrait être mise à profit pour soutenir efficacement le déploiement et la facilitation de l’Accord de libre-échange continental africain (AfCFTA), nécessaire à l’approfondissement de l’intégration régionale pour parvenir à la croissance économique et au développement durable en Afrique.

« Tout en œuvrant à l’optimisation des progrès de la révolution numérique, nous devons également garder à l’esprit que la quatrième révolution industrielle nous attend. Le monde n’attendra pas l’Afrique ; l’Afrique doit diligemment adopter les nouvelles technologies, et parallèlement participer à leur développement », a-t-il conclu.

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